Méditations

« Si un homme a 100 brebis et que l’une d’elles se perde, ne laisse-t-il pas les 99 autres sur les montagnes pour aller chercher celle qui s’est perdue ? » (Matthieu 18 : 12) Qu’ont en commun les religions du monde ? Elles cherchent toutes à atteindre et apaiser leurs dieux, qui se sont éloignés de l’humanité. C’est une différence essentielle entre ces religions et la foi chrétienne. Le christianisme est la seule foi dans laquelle le seul vrai Dieu va à la rencontre de l’humanité. Il vient intentionnellement vers nous. Nous sommes les perdus, pas Dieu. Nous pouvons nous réjouir non seulement parce que Dieu nous cherche, mais aussi parce que nous sommes en mesure de connaître personnellement notre Créateur et d’avoir une relation épanouie et prospère avec lui. Nous pouvons lui parler comme à un ami proche. Nous avons la possibilité de connaître le cœur de notre Dieu. Le christianisme n’est pas une religion, c’est une relation. Nous voyons Jésus partager ce message […]

« Jésus lui répondit : “Toute personne qui boit de cette eau-ci aura encore soif. En revanche, celui qui boira de l’eau que je lui donnerai n’aura plus jamais soif et l’eau que je lui donnerai deviendra en lui une source d’eau qui jaillira jusque dans la vie éternelle.” » (Jean 4 : 13-14) Dans son dernier souffle, Thomas Hobbes, athée auto-proclamé, a dit : « Je dois franchir ce pas redoutable qui me conduira dans les ténèbres ». Voltaire, agnostique français, a prononcé ces tristes paroles sur son lit de mort : « Je suis abandonné de Dieu et des hommes ! […] j’irai en enfer ». Contrairement à ces deux hommes morts sans Christ, on trouve l’évangéliste Dwight L. Moody, dont les derniers mots furent : « Si c’est la mort, alors elle est belle. Ici pas de sombre vallée. Je suis entré dans ses portes. La terre se retire, le ciel s’ouvre devant moi. Dieu m’appelle, je […]

« Mais toi, Éternel, tu es mon bouclier, tu es ma gloire et tu relèves ma tête. » (Psaume 3 :3) Sur notre chemin de foi, il nous faudra obéir à Christ et prendre des décisions qui sont impossibles à prendre de nos propres forces. C’est dans ces moments-là que nous devons lever les regards vers Dieu, source de notre force. Le roi David a écrit le Psaume 3 lors d’une période de grande détresse : il subissait un coup d’état et se cachait de son fils Absalom. Cette nuit-là, il se débattait avec sa situation, désespérée à plusieurs niveaux : émotionnellement – en tant que père fâché avec son fils ; spirituellement – il essayait de comprendre la raison de son malheur ; socialement – ses gens l’avaient déserté ; et psychologiquement – des amis proches l’avaient trahi. « Éternel, que mes ennemis sont nombreux ! Beaucoup se dressent contre moi, beaucoup disent à mon sujet : “Pas de […]

« Bénis l’Éternel, mon âme, et n’oublie aucun de ses bienfaits ! C’est lui qui pardonne toutes tes fautes, qui guérit toutes tes maladies. C’est lui qui délivre ta vie de la tombe, qui te couronne de bonté et de compassion. » (Psaume 103 : 2-4) Jéhovah-Rapha, le Dieu qui guérit, est celui dont nous avons absolument besoin, peu importent les faiblesses, maladies ou difficultés que nous rencontrons. Cela ne veut pas dire que nous ne serons jamais malades ou que nous sommes immunisés contre la mort. Mais dans chaque épisode douloureux que nous traverserons, Dieu sera avec nous. Si vous êtes dans la souffrance, souvenez-vous que Dieu veut s’en servir pour vous accorder une plus grande récompense ; il s’en servira pour témoigner de sa présence à ceux qui observent votre fermeté. Quel encouragement que de savoir que Dieu nous guérit jour après jour, semaine après semaine, année après année ! Il prend tous ces petits morceaux brisés de […]

« Car ta bonté vaut mieux que la vie. Mes lèvres célèbrent tes louanges. Ainsi je te bénirai tout ma vie, je lèverai mes mains en faisant appel à toi. » (Psaume 63 : 4-5) La gloire de Dieu se révèle dans les louanges de son peuple. Quand nous élevons nos voix pour louer Dieu, il est honoré et nous sommes bénis. Les bénédictions de Dieu ne sont toutefois pas toujours matérielles. Les gens les plus riches sont ceux qui ont développé une relation intime avec le Sauveur par la prière et la louange. La louange était caractéristique de la vie de David. Jeune homme, il a appris à adorer Dieu par des chants de louange qui exprimaient son dévouement profond au Seigneur. Pendant que ses frères profitaient peut-être du confort de la maison, David était limité à s’occuper du troupeau familial. Mais c’est là, dans les pâturages solitaires, que David a écrit ses meilleurs chants de louange au Seigneur. […]

bonheur éternel à ta droite. » (Psaume 16 : 11) Dieu est l’autorité et le souverain absolu sur sa création. Il n’est pas un cheveu ou un moineau qui ne tombe sans que ce soit sa volonté (voir Matthieu 10 : 29-30). Sans la puissance et l’autorité infinies et immuables de Dieu, ses autres attributs seraient conditionnels. Si Dieu n’était pas tout-puissant, son amour pourrait être affecté ou changé par des forces extérieures. Mais heureusement, nous servons un Dieu dont l’amour est parfait et éternel, qui n’est pas affecté par quoi que soit. Nous savons que « tout contribue au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés conformément à son plan » (Romains 8 : 28). Même si nous ne savons pas tout ce que nous voudrions savoir sur le Seigneur, il nous a révélé dans sa Parole ce que nous avons besoin de savoir sur ses attributs et ses désirs. Tout d’abord, il nous aime […]

« La piété est pourtant une grande source de profit quand on se contente de ce que l’on a. » (1 Timothée 6 : 6) Le mécontentement n’est pas toujours mauvais. Il peut parfois engendrer un changement positif dans notre vie. Le mécontentement peut être le signal d’alarme qu’il nous faut changer quelque chose dans notre marche avec Dieu – et cela peut nous mener au contentement. Quand nous sommes satisfaits dans la vie, nous pouvons faire face à tous les obstacles ou détours que nous rencontrons. Au lieu de ronchonner à propos de nos circonstances, nous pouvons chercher de nouvelles opportunités de faire confiance à Dieu et de lui rendre gloire. Nous pouvons permettre aux vallées de nous rappeler que Dieu seul peut combler le vide dans notre vie. Paul a découvert ce secret et a ainsi pu dire : « J’ai appris à être satisfait de ma situation. Je sais vivre dans la pauvreté et je sais vivre […]

« Jésus, portant sa croix, sortit de la ville pour aller vers l’endroit appelé “le Crâne”, qui se dit en hébreu Golgotha. C’est là qu’ils le crucifièrent. » (Jean 19 : 17-18) Au Calvaire, la croix de Christ est devenue un emblème éternel d’amour. Jésus n’a jamais perdu de vue le plan de Dieu pour sa vie. Tout ce qu’il a appris du Père le préparait à ce moment. Comme le dit Jean 15 : 13 : « Il n’y a pas de plus grand amour que de donner votre vie pour vos amis ». Jésus n’a pas seulement donné sa vie pour ceux qui l’aimaient ; il l’a aussi donnée pour tout homme et toute femme, même ceux qui choisissent de le rejeter. Il n’est pas mort uniquement pour ceux qui lui étaient proches. Il est mort pour nous tous ; personne n’est laissé de côté. Mais nous devons choisir : soit l’accepter comme Sauveur, soit nous détourner de […]

« J’ai été crucifié avec Christ ; ce n’est plus moi qui vis, c’est Christ qui vit en moi ; et ce que je vis maintenant dans mon corps, je le vis dans la foi au Fils de Dieu qui m’a aimé et qui s’est donné lui-même pour moi. » (Galates 2 : 20) Dans un recueil de lettres, François Fénelon, théologien français du XVIIe siècle, écrit : Quels que soient la connaissance spirituelle ou les sentiments que nous ayons, ils ne sont qu’illusion s’ils ne nous conduisent pas à constamment pratiquer la mort à soi-même. Et il est vrai que nous ne mourons pas sans souffrance. Et qu’il est impossible d’être considéré mort tant qu’une partie de nous vit encore. Cette mort spirituelle (qui est vraiment une bénédiction cachée) est indéniablement douloureuse. Elle tranche profondément dans nos pensées et désirs les plus intimes, et met en lumière ce que nous sommes réellement. Le Grand Chirurgien, qui voit en nous […]

Lisez Romains 7 : 1-25. Dans ce passage, l’apôtre Paul souligne quatre vérités encourageantes concernant notre vie en Christ alors que nous cherchons à vivre pour lui. Nous sommes liés à Christ et non à la loi (v. 1-6). Christ nous délivre des chaînes de la loi pour que nous ayons la joie au lieu du désespoir, la vie au lieu de la mort, l’amour au lieu du devoir, et le service volontaire au lieu de l’effort à contre cœur. La maturité se développe (v. 7-13). Les chrétiens immatures vivent en s’appuyant sur eux-mêmes. Mais tôt ou tard ils échouent, car la loi ne peut aider personne à vaincre le péché. Les chrétiens matures ne tiennent pas la loi pour responsable, mais acceptent quotidiennement leur besoin désespéré d’un Sauveur. La religion do-it-yourself échouera (v. 14-23). De ce côté du paradis, nous serons toujours tentés, et y répondre par nos propres forces ne peut qu’engendrer le découragement. C’est sur Christ que […]

« Mais maintenant nous avons été libérés de la loi, car nous sommes morts à ce qui nous retenait prisonniers, de sorte que nous servons sous le régime nouveau de l’Esprit et non sous le régime périmé de la loi écrite. » (Romains 7 : 6) Lisez Romains 7 : 1-6. De nombreux chrétiens aujourd’hui sont dans la confusion quant à l’équilibre entre grâce et obéissance. Un extrême nous pousse à nous servir de la grâce comme un permis de pécher, et l’autre à tomber dans le légalisme – nous appuyer sur nos bonnes œuvres pour notre salut. Vous savez que vous êtes sous la coupe du légalisme quand vous vous levez le matin et dites : « Aujourd’hui, je dois obéir, sinon… ». Quand vous remportez un maigre succès, vous vous applaudissez avec orgueil. Mais quand vous manquez le but, vous sombrez sans la culpabilité et la honte. Loué soit Dieu ! Romains 7 nous montre une voie plus […]

« Mais maintenant que vous avez été libérés du péché et que vous êtes devenus esclaves de Dieu, vous avez pour fruit la progression dans la sainteté et pour fin la vie éternelle. » (Romains 6 : 22) Lisez Romains 6 : 15-23. Si vous pensez pouvoir vivre une vie agréable à Dieu par vos propres forces, vous allez avoir des problèmes. Bien que nous jouions un rôle important dans notre sanctification, et que le Seigneur nous commande de lui obéir, nous ne pouvons pas ressembler à Christ sans dépendre de Christ lui-même. C’est pourquoi nous devons nous abandonner totalement à notre Roi et Maître – Jésus-Christ. Chaque individu sur la surface de la terre a pour maître soit le péché, soit Jésus. Il n’y a que deux options, pas trois. La question est donc : à quel maître obéissez-vous ? En étant esclaves du péché, vous connaîtrez une culpabilité insoutenable ici et maintenant, et une séparation éternelle d’avec Dieu […]